Ce mercredi 19 juin 2013, une interview par téléphone avec Michael Baillie a débouché vers l’élaboration d’un article pour le quotidien « Le Soir », celui-ci ayant paru au sein de leur site Internet. Au cœur des questionnements, le sujet s’articulait surtout autour de la difficulté à cerner la prévision des orages en Belgique, pays où il est aisé de se faire surprendre par les cumulonimbus dans un sens comme dans l’autre.
Article tel qu’apparaissant sur le site Internet
Source : Le Soir
Cet article fut très intéressant car il a su mettre en évidence les difficultés que l’on rencontre durant l’élaboration des prévisions même à très court terme. Cela étant souvent causé par le manque de fiabilité des modèles au niveau de la prévisions de ce qui se passe en basse couche, lieu très important pour connaître les lieux d’initiations des orages et surtout voir la possibilité d’en voir se former (ligne de convergence, instabilité suffisante pour percer une inversion présente, etc.).
Mise à part l’une ou l’autre coquille comme la confusion de la latitude avec l’altitude, le gros des informations suivent les explications qui ont été données durant l’interview. Bien sûr, tout cela ne fait pas de la Belgique, un pays à flop orageux mais nous savons que nos contrées sont effectivement propices pour donner des surprises vis-à-vis des modèles météorologiques, que ce soit dans un sens comme dans l’autre…